En se réunissant chaque début de mois, la NGG veut faire entendre sa voix parmi les grandes associations de la capitale
André Marie DIBAMOU
Yaoundé, Cameroun
Ambition, responsabilité et avenir, ces trois mots constituent à eux seuls, les maîtres mots de la NGG, association à but non lucratif, œuvrant dans le social et dont les activités sont appelés à grandir au-delà du temps et des individus. Depuis près de trois ans, jeunes du quartier Bordeaux à Yaoundé ont décidé de mettre sur pied un plate-forme de rencontre et d’échange entre eux. Les années ont passé et le groupe s’est ouvert à d’autres quartiers et donc à d’autres jeunes. Ce qui fait aujourd’hui que la NGG regorge en son sein d’énormes potentialités au service de la cause commune.
Avec sa vingtaine de membre bien sonnée, le groupe que dirige Patrick Onana, président en exercice du bureau exécutif élu pour un mandat d’un an renouvelable, est dans une phase de modernisation avancée qui lui permet de se hisser au rang des associations qui se respectent. Les réunions ont lieu tous les premiers dimanches du moi chez chaque membre par rotation bien précise. Ce système de rotation permet une meilleure connaissance des nouveaux membres et une intégration certaine entre anciens et nouveaux membres.
Contrairement à l’an dernier, les objectifs de l’association sont de mettre sur pieds des réalisations à même de valoriser son existence. Des commissions ont été mises sur le pied pour coordonner les activités sur le plan sportif et culturel mais aussi pour mettre sur un statut de l’association dûment légalisé. La réception de ce dimanche a eu lieu chez le membre Brice Moussing au lieu dit Hôtel du Plateau à Essos. Comme d’habitude, un ordre du jour a été établi par le bureau exécutif et la phase des divers a permis à tous de se rafraichir, chacun à sa manière.