L’homme: Martin Singap

Traqué, Martin Singap se terre dès le mois novembre 1960 à Badenkop, son village natal. Le 8 septembre 1961 il est froidement abattu à Batié par la soldatesque franco-camerounaise alors qu’il n’a pas trente ans. Ses derniers mots? “L’Afrique libre!”
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