• Sonatrach : Les coulisses d’un scandale
Le 15 Mars s’ouvrira le procès des anciens dirigeants de la plus puissante entreprise d’Afrique, la compagnie pétrolière algérienne Sonatrach. Association de malfaiteurs, passation de marchés illégaux, blanchiment d’argent ou encore dilapidation de deniers publics, la liste des chefs d’accusation est longue. Réfugié aux Etats-Unis, Chakib Khelil, ministre de l’Energie au moment des faits, suivra les audiences avec attention. Une enquête de Jeune Afrique.
•Robert Mugabe : L’homme qui n’aimait pas les blancs
Diabolisé par les européens, le président du Zimbabwe et de l’Union africaine incarne jusqu’à l’obsession le rejet des anciens colons, de l’Occident et de ses diktats. Pourquoi et comment en est-on arrivé là ? Jeune Afrique retrace la chronique d’un divorce annoncé.
•Cameroun : Fotso Parle
Détenu depuis décembre 2010 au secrétariat d’Etat à la Défense à Yaoundé, Yves Michel Fotso, ancien patron de Cameroon Airlines et héritier du financier Victor Fotso, clame son innocence.
Depuis son incarcération, il ne cesse de dénoncer un acharnement politico-judiciaire et l’attitude du ministre de la justice qu’il interprète comme « un règlement de comptes ».
Interview exclusive.
•Israél : Tous contre « Bibi »
Au coude-à-coude dans les sondages avec le Likoud de Netanyahou à l’approche des législatives du 17 Mars, la gauche nourrit l’espoir de revenir enfin au pouvoir. Avec le concours de Tzipi Livni, voire celui – une première! – des partis arabes.
•Hôtellerie : Course de vitesse pour les eux et trois étoiles
Développement économique et croissance démographique dopent la demande pour un hébergement accessible et de qualité dans les métropoles africaines. Sur ce segment, les groupes locaux rivalisent avec les géants internationaux. Objectif: capter une nouvelle clientèle, mêlant affaires et loisirs.
Dossier spécial Tourisme, avec une interview du Directeur général de Mangalis, Olivier Jacquin.
•Aérien : Compagnies subsahariennes, unissez-vous
Après plus de quinze ans de pourparlers, le ciel africain est enfin libéralisé pour les transporteurs locaux. Mais rares sont ceux qui peuvent se hisser à la même altitude que leurs rivaux internationaux. Leur existence même est souvent suspendue à l’arrivée d’un repreneur… ou à un rapprochement stratégique.